photo Des fois je hurle aux vents

Des fois je hurle aux vents

Spectacle

Châtillon-en-Bazois 58110

Le 22/03/2025

Ulice a 15 ans. Elle rêve d’océan et de voyage. Le vent est son allié et elle porte en elle une quantité incroyable de choses à dire sur le monde qui l’entoure et quelques secrets. Son monologue sera son odyssée. Un récit de voyage à la fois intime et universel, un regard tempétueux sur le monde qui nous entoure. Entre fugue et fuite, Ulice nous entraîne à travers les villes et les campagnes, à la recherche de l‘océan. Elle prend la route pour échapper à une société dans laquelle elle peine à se projeter, mais également pour fuir la révélation brutale d’une histoire familiale jusque-là ignorée. Son vagabondage est pensé et écrit comme un road-movie théâtral à travers les villes, les routes et les paysages sauvages, mêlant théâtre, vidéo et musique. Une odyssée à la fois intime et sociétale pour revenir à l’essentiel et se (re)trouver.

photo Des fois je hurle aux vents

Des fois je hurle aux vents

Théâtre, Musique

Châtillon-en-Bazois 58110

Le 22/03/2025

Ulice a 15 ans. Elle rêve d’océan et de voyage. Le vent est son allié et elle porte en elle une quantité incroyable de choses à dire sur le monde qui l’entoure et quelques secrets. Son monologue sera son odyssée. Un récit de voyage à la fois intime et universel, un regard tempétueux sur le monde qui nous entoure. Entre fugue et fuite, Ulice nous entraîne à travers les villes et les campagnes, à la recherche de l‘océan. Elle prend la route pour échapper à une société dans laquelle elle peine à se projeter, mais également pour fuir la révélation brutale d’une histoire familiale jusque-là ignorée. Son vagabondage est pensé et écrit comme un road-movie théâtral à travers les villes, les routes et les paysages sauvages, mêlant théâtre, vidéo et musique. Une odyssée à la fois intime et sociétale pour revenir à l’essentiel et se (re)trouver.

photo Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Nevers 58000

Du 25/11/2021 au 22/02/2022

C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]

photo Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Nevers 58000

Du 25/11/2021 au 22/02/2022

C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]